Chroniques Éditoriaux

COMMENT SE PORTE VOTRE INDICE DE CRÉATIVITÉ?

C’était il y a un peu plus de vingt ans maintenant. En 2001, un professeur d’économie faisait la promotion d’un nouvel indice, l’indice bohémien, qu’il

Chroniques Éditoriaux

L’ÉTÉ DE TOUS LES DEUILS

Le doux temps est venu apaiser près de deux ans d’hiver. Pas seulement les journées trop froides et le mordant des derniers mois ou le

Chroniques Éditoriaux

CES ÊTRES HABITÉS DE DÉSIR

Pour ce numéro de mai, L’Indice bohémien consacre un cahier spécial aux inspirations d’artistes. J’ai pensé, à tort, qu’il serait facile de trouver un angle

Chroniques Éditoriaux

MA COUR ET LE CHAOS DU MONDE

Pendant que Poutine bombarde l’Ukraine et terrorise l’Europe en menaçant d’user de son artillerie nucléaire, nous regardons nos écrans, tétanisés. Celui qu’on prenait jusque-là pour

Égoportrait d'Ariane Ouellet
Éditoriaux Non classifié(e)

LE TEMPS DES SORCIÈRES

Même si certaines lois progressent, la culture ambiante est encore lente à changer.

Égoportrait d'Ariane Ouellet
Éditoriaux

LE TISSU SOCIAL ET AUTRES MOTS DE SOCIÉTÉ

Je suis maman. Je dois donc répondre souvent à un tas de questions. Parfois elles sont pragmatiques. Qu’est-ce qu’on mange? Parfois elles sont profondément existentielles. Quand Carey Price va-t-il revenir au jeu?

Éditoriaux

LES MÉTIERS D’ART AU CŒUR DE MA VIE!

Du plus loin que je me souvienne, les arts ont toujours tenu une place importante dans ma vie. Déjà, toute petite, j’avais 1001 projets de

Éditoriaux

PIMENTER SON OISIVETÉ D’UN PROJET DE SOCIÉTÉ

Ces mots n’en seraient pas sans eux. Ces lignes seraient vides, inexistantes, puisqu’aucun papier ni aucun écran ne pourrait les transmettre. Ce journal culturel, comme

Éditoriaux

NE PAS FAIRE D’UN MOYEN UNE FIN

Selon le recensement de 2016, la population ayant immigré au Québec et résidant dans la région de l’Abitibi-Témiscamingue était de 2 135 personnes, soit 1,5 % de la

Éditoriaux

FAIRE PLACE À L’ERREUR

Il n’y a pas d’œuvre parfaite. Il n’y a pas de famille parfaite. Il n’y a pas de métier parfait. Il n’y a rien de