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Les angles morts

En tant qu’Abitibienne, je fréquente souvent la route 117. Je l’aime et je la crains. Ma relation amour-haine avec elle vient du fait que je n’ai

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La violence

Cela fait maintenant quelques années que L’Indice bohémien consacre un cahier aux femmes pour son numéro de mars. Cette année encore, pour plusieurs raisons, il

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Sortir du moule

J’ai le privilège de commencer mon année 2020 immergée en milieu scolaire pour réaliser une murale dans une école primaire avec près de 450 apprentis muralistes de

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Être ou ne pas être

Encore un éditorial qui n’en est pas un. Je ne suis spécialiste de rien, ni historienne, ni sociologue, ni journaliste, ni analyste politique. Ma spécialité

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La suite des choses, justement

Palmarolle, le 14 octobre 2049 Je suis né à Rouyn-Noranda en 2010. J’ai maintenant 39 ans. J’ai choisi de vivre en Abitibi-Témiscamingue parce qu’on trouve ici

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Pour la suite du monde

Au milieu du mois de septembre se tenait la deuxième édition de Miaja, dans la communauté de Kebaowek au Témiscamingue. La rencontre, organisée par Minwashin,

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Toujours quelque chose à dire!

L’Indice bohémien célèbre ses dix ans d’existence. Pour y avoir été collaboratrice de la première heure puis tour à tour rédactrice en chef, administratrice, photographe,

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LES SAISONS SE SUIVENT, MAIS NE SE RESSEMBLENT PAS

À une époque de ma vie, j’ai été planteuse d’arbres. Pas dans l’aménagement paysager. J’ai planté pour des compagnies forestières à une échelle industrielle qui

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KIDINOZOWIN OSHIBÎ’IN (ÉCRIS TON NOM [SUR LA CARTE])

Depuis des millénaires, l’Abitibi-Témiscamingue est un territoire anicinabe. Disons 8000 ans pour faire un chiffre rond. Bien qu’on trouve sur le territoire des noms comme Harricana

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Civiliser les ogres?

Naïvement, je l’avoue, j’ai longtemps cru que le rôle des différents ministères était de mettre en place des processus et des règlementations visant à établir