NOUVELLE PRATIQUE DE GESTION DES ESPACES VERTS : LA GESTION DIFFÉRENCIÉE
J’ai voulu m’intéresser à ce sujet. En fait, j’ai changé d’idée, de thème. Dernièrement, je lisais le plan directeur du lac Osisko de la Ville
LE PIÈGE DE L’ABONDANCE
L’exploitation des richesses naturelles présentes sur le territoire, dont les ressources minières et forestières, nécessite la consommation accrue d’une autre ressource naturelle d’importance capitale : l’eau!
LE DILEMME ÉTHIQUE D’UNE CHASSEUSE MODERNE
ANDRÉANE GARANT, ADMINISTRATRICE AU CONSEIL RÉGIONAL DE L’ENVIRONNEMENT DE L’ABITIBI-TÉMISCAMINGUE (CREAT) Trapper, chasser, pêcher : des pratiques qui font partie de mon histoire de vie, de
RÉEMPLOYER POUR DÉCORER, UN GESTE ENVIRONNEMENTAL ET ÉCONOMIQUE
L’expression « 3RV » est une abréviation des termes « réduction à la source », « réemploi », « recyclage » et « valorisation ». Cette séquence permet de prioriser nos actions pour gérer nos
ARBRES DE VILLE : UN ÉCOSYSTÈME BIEN DIFFÉRENT!
Ayant travaillé uniquement en forêt publique, étant amatrice d’activités de plein air en forêt et étant devenue propriétaire assez tardivement dans ma vie, ce n’est
LE MIRAGE ÉCOLOGIQUE DE LA RÉVOLUTION NUMÉRIQUE
JOSÉE-ANN BETTEY Véritable révolution en soi, le numérique était la promesse d’un monde plus vert : moins de papier imprimé et réduction des déplacements. Cependant, il
L’ENVIRONNEMENT, L’ULTIME ENJEU ÉLECTORAL?
Dans une entrevue à la radio, Jérôme Dupras m’apprenait récemment qu’on parle maintenant d’effondrement climatique et d’effondrement de la biodiversité. C’est un mot dur, ça
LA RÉGION, TERRES FERTILES POUR LES MARAÎCHERS
À l’instar de plusieurs activités économiques essentielles, le secteur bioalimentaire a subi les effets dévastateurs de la pandémie. Malgré tout, depuis quelques années, la production
RIRE DE NOTRE AUTODESTRUCTION
En janvier 2020, alors que la pandémie s’infiltrait déjà sournoisement dans nos vies à notre insu, mes camarades de l’École nationale de l’humour et moi-même
L’HISTOIRE DONT NOUS POUVONS TOUS ÊTRE LES HÉROS
Dans ma chronique précédente, L’art de communiquer la fin du monde, je mettais en lumière le déni collectif et la lourdeur que représente la responsabilité