LA RICHESSE DES MILIEUX NATURELS
L’environnement est complexe et fragile. Aucun être humain ne peut subsister s’il ne préserve pas son environnement adéquatement.
L’ART DE COMMUNIQUER LA FIN DU MONDE
«Ce qui motive davantage le déni, c’est la lourdeur de l’imputabilité. »
LES RÈGLES ET RÉDUIRE SON EMPREINTE ÉCOLOGIQUE
CAMILLE DALLAIRE, CHARGÉE DES COMMUNICATIONS Une femme menstruée aura ses règles pendant environ 40 ans et saignera, en moyenne, 5 jours par mois, ce qui
MERCI!
Le Conseil régional de l’environnement de l’Abitibi-Témiscamingue (CREAT) ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui sans l’implication de ses administrateurs bénévoles. Je voulais rendre hommage à deux d’entre eux en particulier, Jacinthe Châteauvert et Serge Tessier.
COMMENT OFFRIR UNE DEUXIÈME VIE À VOS AMPOULES? ON VOUS ÉCLAIRE SUR LE SUJET
Les ampoules sont un excellent exemple d’objet du quotidien, indispensable, mais ayant une empreinte environnementale non négligeable. Lorsqu’une ampoule grille, votre premier réflexe est-il de
L’EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DÉSASTREUSE DE NOS VÊTEMENTS
Je me souviens de mon primaire dans les années 1990 quand mes cousines m’envoyaient de gros sacs de vêtements dont j’étais probablement la quatrième propriétaire. À
ESPÈCE NATURALISÉE
En biologie, on parle d’espèce naturalisée lorsque l’espèce parvient à s’implanter naturellement dans son nouvel environnement. La marguerite blanche (Leucanthemum vulgare) et le pissenlit officinal
SYNERGIE INDUSTRIELLE : COMMENT S’INSPIRER DE LA NATURE
Nous faisons tous partie d’un écosystème biologique complexe constitué de différents organismes interreliés en réseaux trophiques par des relations alimentaires (producteur, consommateur, décomposeur). Issue de
LE TRÉSOR DES ÎLES DU LAC DUPARQUET
L’Abitibi-Témiscamingue abrite une quantité insoupçonnée de milieux naturels riches. Outre les sites touristiques populaires, des endroits étonnants présentent des caractéristiques écologiques uniques en leur genre.
LE CARIBOU, C’EST NOUS – Atiku, tshinanu au!
J’ai eu la chance de vivre une partie de ma vie dans l’intérieur des terres du Nitassinan. C’est donc entre le 117e et le 173e