Dominic Ruel
Abitibien d’adoption, Valdorien depuis 20 ans, Dominic Ruel est enseignant en histoire et géographie au secondaire. Il contribue à L’Indice bohémien par ses chroniques depuis les tout débuts, en 2009. Il a été président du CA de 2015 à 2017. Il a milité en politique, fait un peu de radio, s’est impliqué sur le Conseil de son quartier et a siégé sur le CA du FRIMAT. Il aime la lecture et rêve d’écrire un roman ou un essai un jour. Il est surtout père de trois enfants.
Articles de l'auteur : Dominic Ruel
Autour de la fin du monde
Nous voilà un mois après la non-fin du monde. Les Mayas se sont trompés et nous avons pu fêter Noël, courir les magasins dès le
La haine comme carburant!
Je n’ai pas encore le goût de vous parler de la Commission Charbonneau. Ni de la fin du monde dans moins de deux mois. Vous
Démonstration par l’absurde
Madame Jeannine Provost s’indigne, dans l’édition d’octobre, de mes propos tenus dans une précédente chronique (Les gros mots), prétendant que je confonds les «vieux» avec
Les gros mots
L’été qui arrive, c’est aussi la fin de l’année scolaire. Et celle qui se termine fut horrible. Une annus horribilus. En latin, ça fait plus
Et si Big Brother, c’était nous ?
Vous avez déjà lu 1984, l’œuvre-maîtresse de George Orwell? Moi pas. J’ai bien voulu, mais j’ai été saisi, après une centaine de pages, par un
Le gras et le muscle
S’il est un sujet à la mode ces temps-ci, c’est bien la dette. Grèce, Italie, États-Unis, ici aussi d’ailleurs. Discussion. – On est endettés comme
Orange croche et peur bleue
Reparlons des dernières élections. Même un mois après. En une soirée, tout a changé. Un événement rare. Moi qui affirmais haut et fort dans mon
Sans révolution
Je pourrais la jouer simple, cette chronique, et faire un beau lien entre notre printemps à nous qui arrive et le printemps arabe qu’on a
Je mange, tu cuisines, il reçoit, on se casse la tête
J’aime manger. Certains, mauvaises langues mais tout aussi fines bouches, me voyant de profil, me diront que j’aime trop ça. Laissons tomber, ce n’est pas
Le Fourre-tout
Revoilà septembre et le retour au travail. Je suis enseignant, voyez-vous. Mes vacances sont terminées. Sept semaines. Ça reste un des beaux côtés de l’enseignement,