Articles de l'auteur : Dominic Ruel

CHRONIQUES Champ libre

L’HISTOIRE DE LA PEINTURE ET DE LA PHOTO EN DEUX MINUTES 

DOMINIC RUEL Pendant longtemps, depuis même la grotte de Lascaux, la peinture ne servait qu’à une chose : représenter le réel, ce qu’on voit. Les techniques

Champ libre

LE BEAU MÉTIER

DOMINIC RUEL Libraire fait partie de ces métiers, il me semble, qui ne vendent que du bonheur. Peut-on vraiment être à cran et en vouloir

Champ libre

VILLE ANALOGIQUE II : LENTE, TANGIBLE, INTIME ET (SURTOUT)…IMPARFAITE

DOMINIC RUEL Revenons à Guillaume Éthier et à son ouvrage La ville analogique (Atelier 10) dont j’ai parlé dans ma chronique précédente(numéro d’octobre 2024). Je présentais sa

Champ libre

VILLE ANALOGIQUE I : CONTRE LA VILLE NUMÉRIQUE

DOMINIC RUEL Depuis quelques années, il y a une volonté politique claire de revitaliser les centres-villes, ici, dans la région, et ailleurs au Québec. Ici,

CULTURE Festivals et évènements

20 ANS, ÇA CONTE!

Le Festival de contes et légendes en Abitibi-Témiscamingue (FCLAT) fête ses 20 ans du 26 septembre au 1er octobre, précédé par un off-festival du 17 au 24 septembre, avec

CHRONIQUES Éditorial

L’ART DE POSER DES QUESTIONS

DOMINIC RUEL L’art contemporain fait souvent parler de lui en mal. Et si c’était sain et raisonnable? Depuis la fin de la Première Guerre mondiale,

Dominic Ruel
Chronique : Tête chercheuse CHRONIQUES EN VEDETTE

LA REVANCHE DES GEEKS

Quand j’écris ce texte, nous voilà les deux pieds dans l’automne. Il pleut aux deux jours. C’est morne. Au hockey, les Canadiens auront une saison

CHRONIQUES Chronique : Tête chercheuse

L’INFLATION, LES PÉNURIES ET NOUS

Printemps. Les gens sourient, comme si on en venait finalement à bout, de la pandémie et de l’hiver. On vient d’enlever le masque de la

Chronique : Tête chercheuse CHRONIQUES

L’HISTOIRE EST TRAGIQUE

L’histoire n’est pas une ligne droite, il n’y a pas de sens, ni de direction, ni de destination.

Peinture d'un homme qui a peur
Chronique : Tête chercheuse

LA LEÇON DE ROOSEVELT

« La seule chose dont nous devons avoir peur est la peur elle-même ». C’est la phrase la plus célèbre du discours inaugural du président Franklin D. Roosevelt en 1933.