Dominic Ruel
Chronique : Tête chercheuse CHRONIQUES EN VEDETTE

LA REVANCHE DES GEEKS

Quand j’écris ce texte, nous voilà les deux pieds dans l’automne. Il pleut aux deux jours. C’est morne. Au hockey, les Canadiens auront une saison

CHRONIQUES Chronique : Tête chercheuse

L’INFLATION, LES PÉNURIES ET NOUS

Printemps. Les gens sourient, comme si on en venait finalement à bout, de la pandémie et de l’hiver. On vient d’enlever le masque de la

Chronique : Tête chercheuse CHRONIQUES

L’HISTOIRE EST TRAGIQUE

L’histoire n’est pas une ligne droite, il n’y a pas de sens, ni de direction, ni de destination.

Peinture d'un homme qui a peur
Chronique : Tête chercheuse

LA LEÇON DE ROOSEVELT

« La seule chose dont nous devons avoir peur est la peur elle-même ». C’est la phrase la plus célèbre du discours inaugural du président Franklin D. Roosevelt en 1933.

Ce tableau montre Girolamo Savonarola (1452-1498) en préparation du Bûcher des vanités.
Chronique : Tête chercheuse

FAHRENHEIT 2021

Si on était en 642, à Alexandrie, en Égypte, on aurait vu Omar ibn al-Khattâb brûler les livres de la bibliothèque. L’humanité perdait probablement l’Hortentius

Chronique : Tête chercheuse

LES DOIGTS DANS L’ENGRENAGE

La PCU qui s’étire et le manque criant de main-d’œuvre, la chute de Kaboul et ses 20 ans de guerre pour rien, le déclenchement des

Chronique : Tête chercheuse

À MES ENFANTS ET À CEUX DES AUTRES

Je suis père, d’abord, et je suis prof, ensuite. Je vous vois aller depuis plus d’un an, de près quand même, dans ce chapitre de

Chronique : Tête chercheuse

BANNISSEMENT

Professeurs d’université mis au ban de leur établissement pour des mots « interdits », statues déboulonnées et tableaux retirés parce que les hommes du passé sont jugés

Chronique : Tête chercheuse

L’HISTOIRE D’UNE GUINGUETTE DE VOISINS

Tout commence en mars. Confinement, il faisait encore froid, mais nous avons pris l’habitude, avec les voisins d’à côté, Sonya et Christian, de sortir toutes

Chronique : Tête chercheuse

ANNUS HORRIBILIS

Annus horribilis. C’est du latin. L’expression ne vient pas de la lointaine Antiquité où des Romains, désespérés face aux catastrophes, l’auraient scandé à tout va. Non, elle vient de la bouche