La Ville de La Sarre n’a pas lésiné pour redynamiser sa communauté. Directement de son nouveau service de vie active et animation du milieu (VAAM), le Festi VAAM est né. Ce nouveau festival fait partie de la stratégie adoptée l’hiver dernier par le conseil municipal lasarrois.

Du 9 au 14 août, la population a été conviée à des activités un peu partout sur son territoire, question de se réapproprier certains lieux délaissés durant la pandémie. Les festivalières et festivaliers ont pu découvrir des sports émergents ou adaptés comme la balle au rebond (Spikeball) et le boccia, participer à des ateliers de créations avec l’artiste Sophie Royer, jouer au laser tag et à un bingo farfelu, ainsi qu’observer les perséides et saturne.

Sans oublier la musique, élément indispensable à des festivités réussies! Des spectacles d’artistes locaux de la relève ainsi que des prestations en collaboration avec le projet Au pays des pick-up, ont fait le bonheur de la foule.

Marie-Luce Doré, coordonnatrice de l’événement, explique la mission que s’était donnée le Festi VAAM : « Nous souhaitions, après deux étés de pandémie, redynamiser la ville. On a plusieurs parcs et lieux de rassemblements, alors on voulait les faire découvrir ou redécouvrir à la population. Comme nous voulions donner la chance à tout le monde d’y participer, toutes les activités offertes étaient complètement gratuites et les gens étaient ravis. »

Le parcours interactif Défi-Évasion a été lancé en début de festival. Le défi, qui se passe dans les rues de la ville, est disponible jusqu’à la fin septembre, la population peut donc continuer d’en profiter! Les détails sont disponibles sur le site Internet du Festi VAAM.

Les familles ont participé en grand nombre et le bilan de ce premier opus, organisé en seulement quelques semaines une fois les mesures sanitaires assouplies, est très positif. Tellement que l’équipe de la VAAM se réunira bientôt pour évaluer les possibilités de revenir l’été prochain avec des activités encore plus éclatées!


Auteur/trice

Femme au parcours éclectique, Joanie Duval a déjà été fleuriste, journaliste et massothérapeute. Elle est revenue à son amour de l’écriture en acceptant avec un grand plaisir le mandat de la rédaction et des communications à L’Indice bohémien. Joanie est également une passionnée d’horticulture et de nature. Elle est d’ailleurs maraîchère sur sa ferme à Rouyn-Noranda et cultive de bons légumes, fines herbes, fleurs et plantes médicinales. Ses intérêts multiples et sa curiosité sans bornes font d’elle une personne en constante évolution qui vit d’audace et de créativité.