LA PHILOSOPHIE DU JARDINIER
Alors que le mois d’août s’égrène inexorablement vers la fin de l’été, que les jours raccourcissent perceptiblement, que le jardin commence à déborder de ses
FAILLIR SE RÉINVENTER
J’ai failli écrire un texte sur la chance qu’on a, en Abitibi-Témiscamingue, d’avoir un si beau terrain de jeu pour aller jouer dehors, surtout dans
SE REGARDER DANS LE BLANC DES YEUX
Depuis quelques années, L’Indice bohémien de juin fait toujours une place aux enjeux liés aux Premiers Peuples et à la mise en valeur de la
Les angles morts
En tant qu’Abitibienne, je fréquente souvent la route 117. Je l’aime et je la crains. Ma relation amour-haine avec elle vient du fait que je n’ai
La violence
Cela fait maintenant quelques années que L’Indice bohémien consacre un cahier aux femmes pour son numéro de mars. Cette année encore, pour plusieurs raisons, il
Sortir du moule
J’ai le privilège de commencer mon année 2020 immergée en milieu scolaire pour réaliser une murale dans une école primaire avec près de 450 apprentis muralistes de
Être ou ne pas être
Encore un éditorial qui n’en est pas un. Je ne suis spécialiste de rien, ni historienne, ni sociologue, ni journaliste, ni analyste politique. Ma spécialité
La suite des choses, justement
Palmarolle, le 14 octobre 2049 Je suis né à Rouyn-Noranda en 2010. J’ai maintenant 39 ans. J’ai choisi de vivre en Abitibi-Témiscamingue parce qu’on trouve ici
Pour la suite du monde
Au milieu du mois de septembre se tenait la deuxième édition de Miaja, dans la communauté de Kebaowek au Témiscamingue. La rencontre, organisée par Minwashin,