Éditorial

PIMENTER SON OISIVETÉ D’UN PROJET DE SOCIÉTÉ

Ces mots n’en seraient pas sans eux. Ces lignes seraient vides, inexistantes, puisqu’aucun papier ni aucun écran ne pourrait les transmettre. Ce journal culturel, comme

Éditorial

NE PAS FAIRE D’UN MOYEN UNE FIN

Selon le recensement de 2016, la population ayant immigré au Québec et résidant dans la région de l’Abitibi-Témiscamingue était de 2 135 personnes, soit 1,5 % de la

Éditorial

FAIRE PLACE À L’ERREUR

Il n’y a pas d’œuvre parfaite. Il n’y a pas de famille parfaite. Il n’y a pas de métier parfait. Il n’y a rien de

Éditorial

À QUI APPARTIENT LE BEAU TEMPS?

Mon amie Éliane habite dans un très joli village des Laurentides. « La chance que tu as! » lui dit-on souvent avec envie. C’est vrai que le

Éditorial

POUR NE PAS OUBLIER

Dans une entrevue accordée en 2014, à Winnipeg, au moment d’inaugurer le Musée des droits de la personne, l’anthropologue Serge Bouchard s’est lancé dans une

Éditorial

SE (RE)DÉCOUVRIR

Lorsqu’on grandit en Abitibi-Témiscamingue, on se retrouve presque inévitablement, à l’aube de la vingtaine, devant l’obligation de faire un choix : partir ou rester. Partir d’Abitibi-Ouest

Éditorial

LE JOUR DE LA TERRE : RETOUR VERS LE FUTUR

Au Québec, c’est bien connu, « en avril, ne te découvre pas d’un fil ». Expression relayée par nos parents et nos grands-parents depuis belle lurette. Avril,

Autoportrait de Madame Marie-Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun (1755-1842), une des premières femmes peintres reconnues.
Éditorial

NOMMER ET DÉNONCER POUR PROVOQUER LE CHANGEMENT

Qu’y a-t-il encore à dire à propos des luttes féministes? Installée devant l’écran près duquel je passe le plus clair de mon temps, c’est la

Éditorial

Générer de la lumière

Une nouvelle année commence et les défis qu’on pensait laisser derrière nous sont plus que jamais présents. Confinement, couvre-feu, télétravail. Si on pensait que ça

Éditorial

RÉFLEXION POUR SE RÉCHAUFFER L’HIVER

Novembre commence à peine et déjà résonnent dans les magasins les sempiternels airs de Noël insipides. Pourtant, rien autour n’évoque quelque sentiment féérique. Ça sent le