Un nouvel emballage pour l’information
- Par Winä Jacob
- . 1 décembre 2011
Cher Père Noël, Je vous écris aujourd’hui parce que j’ai été sage cette année, je crois donc avoir droit à un cadeau des plus agréables.
Sur la voie de l’indignation
- Par Winä Jacob
- . 1 novembre 2011
Des tentes alignées et collées les unes sur les autres, de la musique, des conversations sur fond de changements mondiaux, un esprit d’entraide et de
La philosophie de l’art
- Par Winä Jacob
- . 1 octobre 2011
Et si on philosophait un peu? Ça ne peut faire de tort à personne de réfléchir, de refaire le monde, de se poser des questions
Trop de festivals?
- Par Winä Jacob
- . 1 juillet 2011
Suis-je seule à planifier mes vacances en fonction des événements et festivités auxquels je veux assister? J’en doute fortement! Quand vient le temps de répartir
$ubventions créatives
- Par Winä Jacob
- . 1 juin 2011
Au début mai, à la suite de l’élection d’un gouvernement Conservateur majoritaire, un débat a enflammé les médias et les plateformes web québécoises. L’origine de
Qu’ils déménagent…
- Par Winä Jacob
- . 1 avril 2011
Le mois dernier, le journal Rue Frontenac (publication des ex-lockoutés du Journal de Montréal) proposait un dossier sur l’industrie minière l’Abitibi-Témiscamingue. Plus précisément sur les
L’embarras du choix
- Par Winä Jacob
- . 1 mars 2011
Les concours ont ceci de bon qu’ils permettent à des talents de se faire voir, de se faire connaître et parfois même de lancer une
Essentiel ou utile ?
- Par Louise Lambert
- . 1 février 2011
Il y a quelques semaines, Marie-France Bazzo recevait à son émission de télévision le comédien Guy Nadon, à qui elle a demandé : « Comme comédien, quelle
LA LECTURE EN PARTAGE
- Par Louise Lambert
- . 1 décembre 2010
Ce numéro de décembre vient clore une année qui a été des plus fructueuses sur le plan culturel, et pour L’Indice bohémien par ricochet. À
De saisons et de culture
- Par Louise Lambert
- . 1 novembre 2010
Ce numéro de L’Indice bohémien paraît à quelques jours du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. Depuis trois décennies, le dernier samedi d’octobre est étroitement