Nous avons sondé notre communauté qui se passionne pour la culture pour connaître les projets, artistes, œuvres ou événements qui ont fait battre son cœur au courant de la dernière année.

Murale Conception d’étincelles de Stéphanie Dupré-Guilbert. Photo de Jean Caron.

L’exposition Ciel d’Abitibi et pattes de mouche produite en partenariat avec le Centre d’exposition VOART de Val-d’Or. Cette exposition a finalement vu le jour malgré toutes les restrictions imposées par la COVID en cours de route. L’exposition réunissait les artistes suivants : Émélie Rivard-Boudreau et Serge Gosselin; Alexandre Castonguay et le collectif « Quand pensez-vous? »; Andréanne Godin, Marie Andrée Gouin, Marc-Olivier Hamelin et Karine Hébert; Dominic Lafontaine; Violaine Lafortune; Myriam Lambert; Massy Emond, Stéphanie Matte; ainsi que Jean Ambroise Vesac en partenariat avec l’Espace O Lab. La clientèle jeune public et familiale a particulièrement été choyée par l’espace exploratoire de cette exposition. Massy Emond nous a déroutés avec le balado 70 km. Le public a bien répondu à notre appel de Capture de ciel abitibien qui a donné lieu notamment à un circuit photographique très apprécié de la population dans le sentier Forex à Amos. – Marianne Trudel

Le projet Lac Osisko du Collectif Territoire, parce qu’un projet qui intègre l’art, la science et l’industrie, c’est tout simplement génial! – Dominic Leclerc

Le Poisson volant. Photo de Louis Jalbert.

Le Poisson Volant! Un gros merci à l’équipe du FME qui se relève les manches, malgré la pandémie, et nous fabrique de la magie! – Dominic Leclerc et plusieurs autres.

La cinéaste Béatriz Mediavilla, dont le film Habiter le mouvement – Un récit en 10 chapitres a gagné plusieurs prix, notamment celui de la meilleure œuvre canadienne au Festival international du film sur l’art (FIFA) en plus d’être sélectionné à de nombreux festivals de films sur l’art (Paris, Lisbonne, Venise aux États-Unis, Istanbul, Montréal, Écosse). Béatriz a aussi remporté le prix découverte des Prix de la danse à Montréal pour son travail en danse et en cinéma, entre autres avec Habiter le mouvement, et des prix avec son court-métrage Still feel you with me (Vous sentir tous en version française). – Marta Saenz de la Calzada

Marta Saenz de la Calzada, qui a gagné le prix Charles Biddle pour son apport exceptionnel à la culture québécoise! — Béatriz Mediavilla et Lou-Raphaëlle Paul-Allaire

La diversité des activités organisées par le nouveau Médialab d’Amos. L’engouement des jeunes pour cet endroit est un coup de cœur en soi! – Valérie Castonguay

Oeuvre de Donald Trépanier. Photo de Christian Leduc.

Boom Town, avec ses neuf comédiens et musiciens de talent. Un beau spectacle touchant et amusant qui expose l’histoire telle qu’on la connaît et aussi, tel qu’on ne la connaît pas. – Claudine Gagné et Lise Paquet

La murale de Donald Trépanier à l’ancienne laiterie Dallaire — Lise Paquet

La murale Conception d’étincelles de Stéphanie Dupré-Guilbert chez Métal Marquis à La Sarre — Ariane Ouellet

L’exposition Là où l’on s’y perd de Donald Trépanier au MA — Ariane Ouellet;

Le spectacle Homme de lettres de Pierre Labrèche présenté à la salle Héritage de La Motte et à travers le réseau Biblio – Ariane Ouellet

Oeuvre au sol de Guylaine Magny. Photo de François Munger.

L’exposition de peintures de Johannie Séguin à la galerie Rock Lamothe — Ariane Ouellet

L’œuvre au sol près de la rivière à Amos créée en collaboration avec les citoyens et faite par Guylaine Magny lors des Journées de la culture – Valérie Castonguay

Roger Pelerin, pour son prix à la Triennale en métiers d’art 2021 et pour l’ensemble de son œuvre — Ariane Ouellet

Le cœur sacré de Jeanne-Mance – Émilie Parent-Bouchard et Sophie Ouellet

J’attends l’autobus d’Alexandre Castonguay — Émilie Canuel

MA, le Musée d’art de Rouyn-Noranda — Karyne Brassard

La Triennale en métiers d’art de La Sarre – Véronique Trudel

Retour du FRIMAT à l’église Saint-Sauveur. Photo de Maryse Boyce.

Le festival FRIMAT qui a fait son retour à l’église Saint-Sauveur — Stéphanie Poitras

La salle de spectacle La Cabane à Val-d’Or qui a survécu malgré un lancement tout juste avant la pandémie, ainsi que toutes les autres salles de la région qui ont dû fermer, ouvrir et encore fermer. – Stéphanie Poitras et Lou-Raphaëlle Paul-Allaire

Alex Godbout, un comédien de Val-d’Or plein de talent qui joue dans plusieurs productions à la télé — Sophie Ouellet

Mon coup de cœur pour l’année 2021 a été un spectacle de Damien Robitaille que je suis allée voir le 4 décembre à la salle de spectacles de Val-d’Or avec mon mari. Après une première partie avec des airs de Noël présentés à sa façon en compagnie d’autres musiciens, il nous a amenés en tant qu’homme-orchestre dans un voyage au pays des meilleures chansons rock-pops. Quel plaisir ce fut cette soirée. – Michèle Paquette

La sculpture Le Magnifique érigée sur un talus à l’entrée de la ville de Preissac. Cette œuvre a été créée par le sculpteur Denis Michaud. – France Daoust

Le Festival d’humour émergent (FHE), Camille Dallaire a fait un beau travail en collaboration avec des acteurs importants de la région. – Lou-Raphaëlle Paul-Allaire

Hélène Théberge, jeune cinéaste qui a présenté son tout nouveau court-métrage Cocotte au FCIAT, et son collectif OMEGA. – Lou-Raphaëlle Paul-Allaire

Guillaume Laroche : il a passé l’été à faire des shows et à mettre sa carrière de l’avant, il n’a pas chômé! – Lou-Raphaëlle Paul-Allaire

Oeuvre de Serge Kabongo.

Pionniers : leurs représentations ont fait beaucoup jaser. Une comédie musicale, c’est pas tous les jours qu’on voit ça en Abitibi! – Lou-Raphaëlle Paul-Allaire et plusieurs autres spectateurs qui ont adoré la pièce.

Notre coup de cœur pour l’année 2021 est l’exposition de dessin in situ Lelo, aujourd’hui de l’artiste visuel Serge Kabongo présentée à l’Écart, et la manière dont l’œuvre a été partagée à travers la communauté. – Audrée et Gabrielle, de l’équipe de l’Écart

Il y a des bornes à tout, de l’artiste Jacques Baril. Le sculpteur explique son œuvre comme ceci : « Ce sont trois bornes numériques/sculptures installées dans la municipalité de Landrienne qui parlent de la nature et de l’imaginaire créatif des Abitibiens. L’imaginaire a toujours fait partie intégrante du développement de nos villages afin de surmonter les obstacles du quotidien. Comme aujourd’hui les enfants représentent l’avenir de cet imaginaire, j’ai intégré dans mes œuvres sous une forme sculpturale des dessins que les enfants de l’école Notre-Dame-de-Fatima ont créés dans le cadre de mon projet qui consistait à leur demander de faire des croquis d’animaux imaginaires qui vivent dans les arbres donc qui peuvent marcher sur et sous les branches ou sur les feuilles. » – L’équipe de L’Indice bohémien

La Biennale Internationale d’Art Miniature – L’équipe de L’Indice bohémien

Le Jardin des mal-aimés par Tanya Bélanger, avec comme assistant Jacques Baril. Elle a travaillé avec cœur et courage pendant plusieurs mois dans mon atelier. Je l’ai accompagnée une bonne partie du trajet, et j’ai pu assister à la mise en œuvre de ce magnifique projet d’installation sculpturale. Il y a beaucoup plus à voir qu’un orignal dans cette œuvre. Les pattes en ressort hélicoïdal (coil spring), la peau comme de l’écorce d’arbre, le cou coupé qui montre le cœur d’un arbre, un panache extraordinaire tout fait en métal. Tous ces éléments sont là pour des raisons précises et n’oubliez pas dans son histoire, cet orignal est l’esprit de la forêt, le Wendigo. – Jacques Baril