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CHER ARTISTE, JE T’AIME

Je ne sais pas si c’est à cause du début d’année, ou de l’air de février, mais aujourd’hui, cher artiste, j’ai envie de te déclarer

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HOCUS POCUS

Le soin que nous mettons dans les choses que nous faisons leur insuffle une magie, j’en suis persuadée. Bien faire est un rituel qui ne

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Cinéma, technologie et humanité

PRÊTER LA TRIBUNE AU GRAND SAGE // Jenny Corriveau Octobre, arrière-plan orangé, objectif automnal. Panorama Super 8 de feuilles mortes à travers un grand-angle. Vitesse d’obturation

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Cesser de faire abstraction d’une génération

Toi et moi, on est bien différents, mais pas tellement en même temps. On partage une attirance certaine envers le milieu culturel. On aime, à

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Un aurevoir et des balbutiements

SALUT, ET MERCI! // Tommy Pilon que Karine Murphy, une correctrice d’épreuve qui me donne souvent l’impression que je suis un cancre de la langue française. Enfin,

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Vent de changement, vent de cynisme

Le sentez-vous, ce vent de changement qui souffle depuis le retour des vacances estivales? Bien qu’il soit encore tôt, tout semble indiquer la fin imminente

Ariane Ouellet, rédactrice en chef de l'Indice bohémien
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De la lumière S.V.P.

Dans son Petit cours d’autodéfense intellectuelle, Normand Baillargeon cite Joseph Goebbels, ministre nazi de l’Information et de la Propagande, qui disait ceci : « À force de

Ariane Ouellet, rédactrice en chef de l'Indice bohémien
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Ce qu’on a dans le ventre

Le bonheur tient à bien des choses : l’estime de soi, le succès professionnel, l’accomplissement personnel ou l’amour. Mais on pense souvent à tort que le

Ariane Ouellet, rédactrice en chef de l'Indice bohémien
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Il y a des choses qui n’ont pas de prix…pour tout le reste, il y a des gouvernements

C’est devenu périlleux de regarder le fil de presse, en ces jours où la luminosité diminue. De prime abord, la fin de l’été n’est jamais

Ariane Ouellet, rédactrice en chef de l'Indice bohémien
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Mile après mile, la culture chemine

La parenté s’en vient souper. Vite, je fais le ménage, je mets une belle nappe et des fleurs, j’aère et je mets la maison sur