Éditoriaux

De pourriture et de terrorisme

« Nous nous sommes donné la marge de manœuvre nécessaire pour réinvestir dans les secteurs qui nous tiennent à cœur : l’éducation, la santé et la réduction

Éducation

Souhaitons-nous

Nous y sommes déjà à ce neuvième mois, à cette grossesse à terme qui nous fait rêver d’un nouveau départ, d’un commencement, d’un début de

Éditoriaux

Vent de changement, vent de cynisme

Le sentez-vous, ce vent de changement qui souffle depuis le retour des vacances estivales? Bien qu’il soit encore tôt, tout semble indiquer la fin imminente

Éditoriaux

Décrocher

Décrocher cet été. Décrocher parce que le gouvernement conservateur ignore la population témiscabitibienne, des citoyens de seconde zone qui n’ont pas voté du bon bord.

Ariane Ouellet, rédactrice en chef de l'Indice bohémien
Éditoriaux

De la lumière S.V.P.

Dans son Petit cours d’autodéfense intellectuelle, Normand Baillargeon cite Joseph Goebbels, ministre nazi de l’Information et de la Propagande, qui disait ceci : « À force de

Tempête de mars 1947, photo prise à Rouyn-Noranda
Humeur

Tempête!

La neige neigeait doucement le 29 janvier dernier. Cinq mille personnes, du Témiscamingue et de l’Abitibi, donnèrent alors un avertissement au gouvernement québécois. Il y

Dominic Ruel
Humeur

Des ciseaux pour l’école 2

  Je ne voulais pas écrire cette chronique. Mais les circonstances m’obligeaient, comme prof, à rédiger une suite à mon texte de septembre et à

Philippe Marquis
Humeur

Vers le printemps…

La lumière se fait rare et le froid de plus en plus déchirant… Cela glace d’autant plus durement que, pour ceux que nous laissons nous

Dominic Ruel
Humeur

C’est gris, partout

Si je le pouvais, j’abolirais novembre. Je n’aime pas ce mois, coincé qu’il est entre l’Halloween et les temps des fêtes. Il ne s’y passe

Ariane Ouellet, rédactrice en chef de l'Indice bohémien
Éditoriaux

Il y a des choses qui n’ont pas de prix…pour tout le reste, il y a des gouvernements

C’est devenu périlleux de regarder le fil de presse, en ces jours où la luminosité diminue. De prime abord, la fin de l’été n’est jamais