Votre humble chroniqueur, en compagnie de Michel Desfossés et du barbier Franz.
Chronique : Région intelligente

Valorisation Abitibi-Témiscamingue et l’intelligence territoriale

Dur de dire non à Michel Desfossés, même après une nuit blanche à terminer le journal avant son envoi aux presses. Même quelques jours avant

Chronique : Portrait d'artiste

Ariane Ouellet rencontre le guitariste virtuose de Val-d’Or

On attendait son dernier album comme on laisse mûrir un bon vin, sachant que notre patience sera récompensée par la découverte d’un goût plus riche,

Chronique : Poste d'écoute

Les Sœurs Boulay – 4488 de l’Amour – Grosse Boîte

4488 de l’Amour, des Sœurs Boulay, c’est mon album coup de cœur de cette année 2015. C’est un album qui te rebondit dans le cœur, qui

Chronique : Poste d'écoute

Sandblast – Sandblast – Indépendant

Le premier court métrage du groupe témiscamien Sandblast renferme six pièces et nous ne pouvons déceler aucune longueur entre Fidèles à nos propres démons et

Chronique : CULTURAT

Frank Polson, ambassadeur anishnabe

Vous avez peut-être remarqué l’affiche lumineuse qui orne désormais les bureaux d’Iris, Deloitte et Tourisme Abitibi-Témiscamingue sur la rue Dallaire, à Rouyn-Noranda. Il s’agit d’une

Chronique : Littérature

La femme qui fuit, d’Anaïs Barbeau-Lavalette

« Mais Mousse a trois ans et c’est dans tes jupes et tes chansons qu’elle existe. C’est dans l’effluve rassurant de ton cou et l’antre de

Caroline Arbour joaillière, membre du collectif qui a organisé la 1e édition de M.A . L’Événement, en 2010
Chronique : Pleins feux sur la culture en Abitibi-Témiscamingue

Les métiers d’art

En ce début de période de festivités de Noël, nous voulons attirer votre attention sur les métiers d’art, puisque nous sommes plusieurs à offrir des

Phil Moreau au Quai des brumes, 9 mai 2015
Chronique : Portrait d'artiste

Phil Moreau, chanteur d’histoires

Phil Moreau, originaire de Rouyn-Noranda, roule sa bosse depuis une vingtaine d’années dans le monde de la musique. Son premier album, Paratonnerre, est une œuvre

Chronique : Tête chercheuse

Les langues sales

C’est à croire qu’il faut absolument tout dire. En dire le plus possible. Le dire n’importe comment. Le dire sans penser, juste pour le dire,