Charles-Alfred-Marie Paradis, missionnaire-colonisateur
Charles-Alfred, né en 1848, est le 6e de 16 enfants d’une famille d’agriculteurs de St-André-de-Kamouraska. Après ses études primaires, il est pensionnaire au collège de
Amos, il y a cent ans, sur les traces du missionnaire Ivanhoë Caron
Puisque la ville d’Amos célèbre cette année son 100e anniversaire de fondation, sa société d’histoire saisit l’occasion pour présenter une exposition à son centre d’archives
2000 ans d’exploitation minière au lac Témiscamingue
Novembre 2013 L’argent du lac Témiscamingue L’argent est un métal précieux qui se retrouve rarement à l’état pur dans la Nature. Il ne se rencontre
Un nouveau centenaire dans la région : le National Transcontinental Railways
La journée du 17 novembre 2013 s’annonçait ordinaire. Température fraîche, maussade et pluvieuse. Mais à Senneterre, pour une cinquantaine de personnes, on se croirait en
Cent cinquante ans de présence au Témiscamingue pour les Oblats
La colonisation crée un troisième mandat aux Oblats, soit celui de s’occuper de ces nouveaux arrivants tant matériellement que spirituellement. Les colons s’installent principalement dans
Cent cinquante ans de présence au Témiscamingue pour les Oblats
Lorsqu’en 1844, Mgr Bourget, second évêque de Montréal, a demandé aux Oblats de Marie-Immaculée de desservir Bytown (Ottawa), les Algonquins vivant dans la région du
Les heures glorieuses du cinéma à Amos
C’est en 1920 que le conseil municipal d’Amos statue au sujet du cinéma et se réserve le droit de tolérer ou de prohiber les représentations.
Notre Fête nationale – La Saint-Jean Baptiste
La Fête nationale de la Saint-Jean-Baptiste a été célébrée pour la première fois en Abitibi, à La Sarre en 1917. À cette occasion, divers amusements
Bonneville, l’humoriste
Les plus vieux d’entre nous se rappelleront sans doute de Jean-Pierre Bonneville, directeur de La Frontière et journaliste à la réputation douteuse, aux idées effrontément
Le traité no 9 ou la longue errance de la communauté algonquine d’Abitibi
Encore au début du 20e siècle, les Algonquins vivaient selon leur mode de vie traditionnel. La colonisation, l’exploitation minière et forestière ainsi que la construction