Éditorial

LA LECTURE EN PARTAGE

Ce numéro de décembre vient clore une année qui a été des plus fructueuses sur le plan culturel, et pour L’Indice bohémien par ricochet. À

Éditorial

De saisons et de culture

Ce numéro de L’Indice bohémien paraît à quelques jours du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. Depuis trois décennies, le dernier samedi d’octobre est étroitement

Éditorial

Un vote pour la culture!

Les feuilles changent de couleur, l’air se rafraîchit, les journées s’effritent et l’automne se fait politique. Le mois d’octobre en sera un de pancartes et

Éditorial

Ça en vaut la chandelle

Ce texte devait être consacré au premier anniversaire de L’Indice bohémien, à tout le travail qui a mené à sa naissance ; au fait que ce

Éditorial Société : Général

Culture d’accueil

Été 1997. Je viens de compléter une année au Cégep. Je suis jeune, heureuse et surtout, je reviens en région avec de nouvelles expériences derrière

Éditorial

Pour une culture qui ose Levons nos verres à la santé des bars de chez nous!

Au moment d’écrire ces lignes, il faisait chaud, voire très chaud. Le climat de l’Abitibi-Témiscamingue se prenait pour celui du Mexique, transformant le coeur de

Éditorial

À force de tirer sur la couverte, on risque d’en faire des guenilles

Bien que l’offre culturelle se soit diversifiée au cours des dernières années, qu’une panoplie de festivals et de lieux de diffusion aient vu le jour,

Éditorial

Nos deux solitudes main dans la main

Marcher pour avancer dans la vie, marcher pour découvrir de nouveaux horizons, marcher pour prendre l’air, marcher pour se rendre au point B, marcher pour

Éditorial

Diplômer l’art

Pour terminer en beauté mes études secondaires, il y a de cela quelques années, j’avais choisi la biologie comme cours optionnel dans un élan d’amour

La valeureuse équipe du comité organisateur  du Festival des Langues Sales 2010
Éditorial

Genèse des événements d’ici 

Le premier jour, le jeune* de la région chiala « Il ne se passe jamais rien de bon en région! » « Y’a rien pour