La formule nomade du Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue est unique dans la province. Tous les ans, l’événement bouge de MRC en MRC, de sorte que chacune des grandes villes de la région – Ville-Marie, Rouyn-Noranda, Amos, La Sarre et Val-d’Or – en devient l’hôte tous les cinq ans. Ce sont donc cinq comités organisateurs distincts, épaulés par une corporation régionale, qui assurent la pérennité et le dynamisme de cette foire littéraire.

ZOOM SUR LES MEMBRES DU COMITÉ ORGANISATEUR

Le Salon du livre se tenant à Ville-Marie n’a plus de secrets pour Denis Lecompte, responsable du comité Exposants. Il s’y implique depuis 1986, ce qui fait de lui un membre d’expérience. Pour ce semi-retraité de l’entreprise Services Informatiques Logitem, qui offre, entre autres, un service de librairie, ce dévouement est une continuité logique du travail qu’il exerce tous les jours.

Yan Lecompte, responsable du comité Aménagement, en est à son troisième salon. Monter et démonter les kiosques font maintenant partie de son expertise. Comme propriétaire de la librairie Services Informatiques Logitem, il baigne au quotidien dans l’univers littéraire et dans celui de l’ameublement de bureau. Cette implication va de soi.

Retraitée de Tembec Inc. à titre de directrice des finances, Gaétane Bastien est la personne toute désignée pour être à la tête du comité Finances. Elle en est à sa troisième expérience comme bénévole pour le Salon du livre de Ville-Marie.

Pendant cinq ans, Josianne Bergeron a été responsable de La Bouquine de Ville-Marie. Il n’est donc pas surprenant qu’elle soit responsable du comité Auteur. Elle vit sa première expérience au sein du comité organisateur en plus d’être membre de la corporation régionale du Salon du livre.

Lynda Lachapelle a été bénévole au Salon du livre de Ville-Marie à trois reprises. En 2022, la voilà responsable du comité Accueil, une occasion de se faire plaisir, d’élargir ses horizons, de faire de belles rencontres et de faire connaître le Témiscamingue.

La responsabilité du comité Communications a été confiée à Catherine Drolet Marchand. Impliquée dans différents événements de la région, parce qu’elle aime tout ce qui dynamise le Témiscamingue, la voilà à sa première expérience au sein du comité organisateur.

Valérie Gaudet, coordonnatrice aux Services éducatifs du Centre de services scolaire du Lac-Témiscamingue, s’occupe de la programmation scolaire. L’an dernier, elle a joint le conseil d’administration de la corporation régionale du Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue et, cette année, elle est entrée au comité organisateur de la 46e édition pour établir le lien entre le salon, les écoles et les élèves.

Nathalie Cyr, responsable du comité Événements, a travaillé plusieurs années aux Éditions Z’ailées. L’ambiance des salons du livre, elle l’a vécue dans plusieurs villes du Québec. Elle partage donc cette expérience avec les autres membres du comité organisateur pour une deuxième fois puisqu’elle croit à l’importance de mettre en valeur les auteurs de chez nous.

Enfin, Valérie Lalonde coordonne le tout : elle fait le pont entre les différents comités pour s’assurer que la machine est bien huilée. Son aventure au sein du comité organisateur et de la corporation régionale remonte à 2011. Comme l’organisation d’un tel événement s’étale sur une période d’environ un an et qu’elle y met beaucoup de temps, c’est en voyant les auteurs et les maisons d’édition faire la route jusqu’au Témiscamingue qu’elle a véritablement le sentiment du devoir accompli.

C’est grâce à ces gens dévoués que le 46e Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue est sur le point de rassembler toutes les personnes qui se passionnent pour le monde littéraire : maisons d’édition, autrices et auteurs ainsi que lectrices et lecteurs.


Auteur/trice

Originaire du Témiscamingue, Dominique Roy est enseignante au secondaire depuis 1999. Elle complète actuellement une maîtrise en éducation spécialisée en formation à distance. Sa grande passion : la langue française. Ses passe-temps préférés : lire et écrire. D’ailleurs, elle rédige des articles à la pige pour quelques journaux et magazines depuis plusieurs années en plus de conceptualiser, rédiger et réviser des ressources pédagogiques. Son premier article pour L’Indice bohémien, elle l’a écrit en octobre 2011, et cette collaboration perdure depuis tout ce temps.