2013, selon l’astrologie chinoise, est l’année du serpent, animal associé à la sagesse, à la culture, à la réflexion, à la créativité et à la connaissance de soi. Reliée à l’élément eau, ce sera une année propice aux études, à la pensée et aux grands projets. Ça tombe bien, on en a plein les cartons.
En novembre 2012, nous avons fait le tour de la région pour connaître vos perceptions du journal en termes de contenu et de graphisme. Nous plancherons donc sur une version améliorée durant les mois à venir, à partir des commentaires que vous avez émis et dont nous vous ferons un bilan ultérieurement. Parallèlement, comme on ne vit pas que d’eau fraîche et d’air pur, nous continuerons aussi à travailler d’arrache-pied pour trouver des façons originales de financer la production de votre mensuel culturel. De plus, nous poursuivrons le processus enclenché pour réaliser un véritable site Web de diffusion de l’actualité culturelle régionale, laquelle demeure en effervescence durant la saison froide, comme le démontrent les reportages publiés dans cette édition.
En vedette : Gilles Parent, de A à Z!
Février est le mois de la culture à l’école. Dans ce contexte, Gilles Parent, un artiste connu pour son travail auprès des jeunes, nous apparaissait comme étant le sujet idéal pour faire la couverture de cette édition. D’autant plus qu’il lancera un nouvel album ce mois-ci, alors qu’il revient à peine de Suisse et d’une tournée à travers la région. Sophie Ouellet est allée à la rencontre de cet homme-orchestre qui s’éclate sur scène comme pas un.
Parlant de la Suisse, le Théâtre de la Loutre représentera la Belle Province sur le territoire helvète au mois d’avril. Une belle façon d’entamer sa 20e année d’existence et une aventure extraordinaire relatée par notre reporter Dominique Roy.
D’autres lancements d’album sont prévus en février. Mario Peluso a en effet choisi de revenir dans son patelin pour présenter Just’un autre beau rêveur, sa toute nouvelle production, dont nous parle Émilise Lessard-Therrien. C’est le cas également de la Valdorienne, Chantal Archambault, qui a accordé une entrevue à Astrid Barrette-Tessier concernant son nouveau disque Les Élans.
Enfin, pour la Saint-Valentin, Chantale Girard nous fait faire un petit détour côté cinéma, question de voir où en est Dominic Leclerc avec le montage du film Alex marche à l’amour, mettant en vedette Alexandre Castonguay. Geneviève Gariépy, pour sa part, nous met au parfum des projets du Conservatoire de musique de Val-d’Or, alors que Stéphanie Déziel nous livre sa critique du dernier roman de Louise Desjardins, Rapide-Danseur.
Et l’école dans tout ça…!
Le thème choisi cette année par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport pour le mois de la culture à l’école est Imaginer le durable. Le ministère a établi trois axes pour exploiter cette thématique : S’ancrer dans le passé; Agir dans le présent; S’ouvrir au futur. Nous vous proposons deux pages abordant ce sujet dans cette optique du passé au futur. À lire tout particulièrement, l’article sur les bienfaits de la lecture en famille de Véronique Gaulin et la critique du livre iBoy par Arnaud Jalbert, un jeune étudiant du secondaire. Peut-être un futur écrivain, qui sait?
Février : de sport et d’art!
Février étant un mois propice aux activités de plein air, nous vous offrons trois pages mettant en lien le sport et l’art. Parmi les sujets abordés, Anne-Laure Bourdaleix-Manin trace un bref historique de la convergence du sport et de l’art, laquelle remonterait au début du 19e siècle. Côté art, Geneviève Gariépy nous entraîne dans l’univers de Louise Naud, une artiste impliquée dans sa communauté et dont plusieurs toiles font référence à des activités de plein air. Un reportage qui plaira «à coup sûr!».
Un événement pour les «bitcheux» et une peintre de calibre international
Préparez-vous, le concours de «bitchage» s’en vient! Évelyne Papillon nous entretient du Festival des langues sales où le linge sale se lave …. en famille élargie. Un avant-goût de ce qui se trame pour mars et ses giboulées printanières.
Quant à Margot Lemire, elle nous promet une rencontre extraordinaire avec Lana Greben, une artiste de calibre international qui, en décembre, a même réussi à exposer au Louvre, rien de moins.
Ce n’est qu’un aperçu de ce que vous réserve cette édition. Si après ça on me dit qu’il n’y a que la motoneige dans la région l’hiver…