L’Abitibi-Ouest est prise aux mots
- Par Sophie Ouellet
- . 1 décembre 2011
Les 24, 25 et 26 février, La Sarre accueille la quatrième édition du Festival des langues sales. Comme son nom le suggère si bien, cet
Diagnostic : utopie chronique
- Par Evelyne Papillon
- . 1 février 2011
Marie-Eve Leblanc prépare avec fébrilité la sortie prochaine de son premier album dont le titre à lui seul, Utopie chronique, suscite la curiosité. Les trois
Sans la culture, le rêve n’existerait pas
- Par Mylène Cossette
- . 1 février 2011
Nom : Ariane B. Barrette Âge : 13 ans Lien particulier avec la culture : Sa mère travaille pour le Festival du cinéma international en
Les matières poétiques de Émilie B. Côté
- Par Stéphanie Hein
- . 1 février 2011
Pour cette première exposition solo, intitulée Rouge blanc bois, l’artiste désire créer un lieu qui englobera le visiteur. Celui-ci sera en effet entouré d’arbres-sculptures et
Essentiel ou utile ?
- Par Louise Lambert
- . 1 février 2011
Il y a quelques semaines, Marie-France Bazzo recevait à son émission de télévision le comédien Guy Nadon, à qui elle a demandé : « Comme comédien, quelle
Spirit Lake porté à l’écran
- Par Indicebohemien
- . 1 février 2011
L’annonce récente d’un projet d’adaptation cinématographique du livre Spirit Lake, écrit par Sylvie Brien, arrive à point pour faire connaître au public cet épisode de
Prisonniers de l’Histoire
- Par Jonathan Barrette
- . 1 février 2011
Le camp Spirit Lake, situé à La Ferme, près d’Amos, évoque une tranche pour le moins dramatique de l’histoire locale, régionale et nationale. En effet,
Sans la culture, le rêve n’existerait pas
- Par Mylène Cossette
- . 1 février 2011
Nom : Ariane B. Barrette Âge : 13 ans Lien particulier avec la culture : Sa mère travaille pour le Festival du cinéma international en
Il pleuvait des oiseaux
- Par Francesca Benedict
- . 1 février 2011
« On n’arrive pas chez des gens qui ont près d’un siècle derrière eux avec un boniment de dernière minute. » p.15 Hasard surprenant que le titre
Louisa Nicol revient dans ses terres
- Par Francine Gauthier
- . 1 février 2011
Telle une outarde, Louisa Nicol n’a jamais cessé de voyager entre l’Abitibi et Montréal, au gré des saisons. Chaque printemps, depuis 26 ans, l’arrivée de