Joint par téléphone à sa résidence, l’entomologiste reconnu Georges Brossard ne tarit pas d’éloges sur la joaillière Caroline Arbour. Ému par le sujet, par l’ampleur du projet et par la qualité des œuvres présentées, il lui était impossible de lui refuser de l’aide, même s’il doutait qu’elle puisse consacrer deux ans à une telle aventure!


Après avoir pris connaissance de ses réalisations, il s’exclame : «Elle fait des chefs-d’œuvre et sa collection devrait se retrouver au Musée des Beaux-Arts!» Selon lui, bien des artistes ont tenté de s’inspirer des insectes dans leurs créations. Cependant, aucun n’a atteint le degré de pureté de celles de Caroline Arbour. Une collection de cette qualité, dit-il, c’est une première. «Caroline a une longueur d’avance et ne fait pas du toc! Elle est un modèle en joaillerie.»


De plus, M. Brossard estime que le travail de Caroline Arbour contribuera à augmenter la connaissance que nous avons des insectes. Ainsi, la peur fera place à la fascination et à la protection de l’espèce. \


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