Dominic Ruel
Abitibien d’adoption, Valdorien depuis 20 ans, Dominic Ruel est enseignant en histoire et géographie au secondaire. Il contribue à L’Indice bohémien par ses chroniques depuis les tout débuts, en 2009. Il a été président du CA de 2015 à 2017. Il a milité en politique, fait un peu de radio, s’est impliqué sur le Conseil de son quartier et a siégé sur le CA du FRIMAT. Il aime la lecture et rêve d’écrire un roman ou un essai un jour. Il est surtout père de trois enfants.
Articles de l'auteur : Dominic Ruel
GAUCHE GAUCHE
Politiquement, le Québec aime le centre-gauche. Je le crois. La bonne vieille social-démocratie, sauce scandinave. Il croit en la redistribution équitable de la richesse, il
LECTURES D’ÉTÉ
On n’est jamais seul quand on lit. On ne s’ennuie jamais non plus. Vivement l’été et la lecture, qu’il fasse beau ou qu’il pleuve. Moins
La fête des pères
La vie a voulu que mes parents divorcent alors que j’avais onze ans. Mon frère et moi sommes restés avec mon père. Il y a
Devoirs à la maison : un grand pacte
Oui, la fin des classes approche. Et les devoirs aussi se terminent bientôt. Fini les mots de vocabulaire, les tables de multiplication, les maths à
Couleur de peau
Martin Luther King avait un rêve. Dans un des grands discours du siècle dernier, à Washington, au cœur du pouvoir politique américain, il lançait : « Nous
Les grandes villes
Début janvier, ma femme et moi avons passé quelques jours à New York pour amorcer la nouvelle année. Un séjour dans le froid et dans
Chapeau, Télé-Québec!
Cet été, j’ai regardé Y’a du monde à messe, à Télé-Québec. Un bon talkshow tourné dans une église, avec Christian Bégin entouré d’une chorale gospel.
Suggestions de lectures d’été
Trois lectures d’été. Rien de léger, ce n’est pas de la chick-litt, avec la fille en voyage avec des amies qui trompe son chum. C’est
Champlain n’est pas un pont
On a tous vu les capsules de Guy Nantel durant lesquelles il aborde les passants avec de simples questions d’histoire, de géographie ou d’actualité. Oui, il
Manichéisme
J’écrivais en octobre dernier que j’adorais les conversations franches, sans entrave ni raccourci. En novembre, j’y allais d’une chronique sur les hommes qu’il fallait aider,