Comment êtes-vous devenue bénévole pour l’Indice bohémien?
Pas longtemps après les débuts, je crois. Le souvenir n’en est pas précis, mais comme je travaille dans le milieu culturel, je sais que j’ai pu couvrir des événements culturels de la MRC d’Abitibi-Ouest à quelques reprises et encore aujourd’hui. Sur trois ans, peut-être quatre, j’ai eu une chronique sur le jardinage durant les mois de mai, juin et juillet. Je m’implique aussi dans la distribution du journal.
Quelle est ta motivation et pourquoi penses-tu important de t’impliquer pour l’Indice bohémien?
Si plus de gens lisaient l’Indice, la culture d’ici ne s’en porterait que mieux. C’est une lecture stimulante qui donne le goût de participer, de connaître tout ce beau monde avec qui, sans le savoir à prime abord, je partage un sentiment d’appartenance, des opinions, des points de vue. Cela a l’avantage d’être extrêmement positif pour la conscience collective de toute la région.C’est un catalyseur de notre évolution. Je suis de ceux qui croient que la culture n’occupe pas assez de place ou n’en occupe jamais trop.
Quels sont tes souhaits pour l’Indice bohémien?
Je souhaite que le plaisir dure encore longtemps, d’autant plus lorsque je m’aperçois que je lis les mêmes choses que Dominic Ruel ou que je rejoins Philippe Marquis dans son lyrisme et sa grandiloquence et Arianne Ouellet dans la justesse de son propos. J’aime l’ironie de Roger Pelerin. J’apprécie qu’on nous renseigne sur tout le potentiel de la région 08 en termes de cultures au pluriel, d’histoire ancienne, de préhistoire, de géographie. Ces domaines fascinants trouvent tous leur place dans l’Indice bohémien. C’est une boîte à surprises!