Comment êtes-vous devenue bénévole pour L’Indice bohémien?

 

J’ai commencé à la distribution au tout début de L’Indice bohémien, à sa première parution. Ma fille, Ariane Gendron, était membre du conseil d’administration, qui à force de travail, a su relever ce défi un peu fou que de publier gratuitement un journal culturel, notre

Voir abitibien. En devenant bénévole, je voulais faire une toute petite part pour ce journal important pour la région. Sans l’implication de

plusieurs bénévoles,

 

L’Indice ne pourrait pas continuer. Qu’aimez-vous le plus dans L’Indice bohémien?

 

J’apprécie les éditoriaux, les articles des collaborateurs, la présentation des offres culturelles, même les recettes. Je souhaite pour l’avenir beaucoup de stabilité à l’équipe permanente et bénévole sans quoi la pérennité du journal serait menacée.

 

Comment résumer L’Indice en quelques mots?

 

Un plus essentiel!


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