Comment as-tu commencé à collaborer avec L’Indice bohémien?
C’était en 2011, j’achevais ma dernière année de Cégep à Sainte-Thérèse et j’avais intensément les blues de la région. J’avais cumulé une certaine expérience dans le journal étudiant de l’époque et bien que je sentais la marche plutôt haute, je me suis proposée pour écrire dans l’Indice! Mon premier article portait sur la création de Vert Forêt, alors que des municipalités du secteur Est lançaient cette initiative. Moi qui en avait marre de la banlieue brune et qui rêvait de retrouver mon Témis, j’étais bien aux anges de m’impliquer dans ce journal en rédigeant, pour commencer, sur la forêt et ses trésors qui me manquaient tant!
Que représente le magazine pour toi?
En consultant les archives du journal pour les bienfaits de ce petit mot, j’ai compté près d’une quarantaine d’articles depuis 2011. Je pense donc que l’Indice me tient profondément à coeur! Dès sa création, j’ai trouvé l’initiative formidable et c’est encore le cas aujourd’hui! Je le trouve beau, plein de couleurs, plein d’histoires trippantes, même ses publicités sont agréables à regarder! C’est donc fort motivant pour moi d’y collaborer, d’autant plus que les recrues Témiscamiennes à la rédaction se font de plus en plus rares… Ainsi, c’est un peu mon devoir de citoyenne d’apporter mon petit grain de sel pour que le Témis continue d’y être représenté! Ce qui est beau aussi avec l’Indice, c’est qu’on a beaucoup de liberté pour aborder les sujets un peu comme on a envie et ce genre liberté aujourd’hui, c’est un atout précieux! 🙂