Martin Blais
Articles de l'auteur : Martin Blais
L’amertume du patchouli
Abitibi, 1978. La campagne, toute en blanc, avec ce qu’elle contient de contradictoire : un vieux chevalement croule sous le poids de la neige tandis
Le Grand Dérangement des Abitibiens
Il n’y a pas que l’amour qui déplace des montagnes; il y a aussi l’or. L’idylle entre les investisseurs et la richesse du sous-sol se
Parler d’Ali
J’ai vu Ali au Capitol, à Val-d’Or, pendant le Festival de cinéma des gens d’ici. Il prenait forme dans la loquacité d’une vieille gang aux
Le Festival du Documenteur : 7 ans de mensonges
Succès bœuf à chaque année, le Festival du Documenteur a participé depuis 2004 à la propagation de calomnies sympathiques à propos des Témiscabitibiens. Mais aux
Je me souviens : une histoire inventée
L’Abitibi a vu son histoire projetée plus d’une fois au cinéma. Dans cette série d’articles, on va dépoussiérer la mémoire collective, remonter à rebours le
Le plaisir du contact entre l’œuvre et le public
Voir son film présenté devant une salle comble est une expérience intense, surtout quand la salle contient quelque 700 festivaliers en délire pendant une des
Martin Guérin revisite un moment géant
Le cinéaste et professeur de cinéma au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue Martin Guérin présente, le dimanche 31 octobre, son dernier opus, un moyen métrage documentaire nommé
Un train pour l’ancien temps
L’Abitibi a vu son histoire projetée plus d’une fois au cinéma. Dans cette série d’articles, on va dépoussiérer la mémoire collective, remonter à rebours le
Y a pas longtemps, à Normétal…
L’Abitibi-Témiscamingue a vu son histoire projetée plus d’une fois au cinéma. Dans cette série d’articles, on dépoussière la mémoire collective, on remonte le cours des
Pour enfin rencontrer son voisin
L’Abitibi-Témiscamingue a vu son histoire projetée plus d’une fois au cinéma. Dans cette série d’articles, on dépoussière la mémoire collective, on remonte le cours des