Comment as-tu commencé avec L’Indice bohémien?

J’étais à une conférence de presse au Petit Théâtre du Vieux Noranda pour couvrir le lancement du nouveau site web de L’Indice Bohémien.

Je découvrais peu à peu l’Abitibi et je rêvais d’ajouter l’écriture à mon arc ayant fait mes études au cégep de Saint-Jérôme en arts et lettres, option lettres et médias.

C’est en discutant avec Astrid Barrette Tessier, lors du lancement, que j’ai compris que la formule pour devenir collaboratrice était aussi simple que de rencontrer Ariane Ouellet, rédactrice en chef. Il ne me restait qu’à faire bonne impression! Je voulais tellement être acceptée, il me semble lui avoir envoyé plusieurs articles pour la convaincre que ma plume était potable! Depuis, je n’ai jamais arrêté d’écrire pour le journal culturel de ma région d’adoption et quand je passe un mois, ce qui est rare, écrire me manque! Cet été, je prends une petite pause le temps d’apprivoiser mon nouveau rôle de maman, mais j’ai déjà bien hâte de composer pour vous cet automne!

Pourquoi tu collabores au magazine ou pourquoi tu crois que L’Indice est pertinent pour l’A-T ? 

J’ai toujours cru que L’Indice bohémien était la voix des Abitibiens! Nous pouvons y écrire sur les sujets qui nous passionnent pour transmettre notre amour de la culture aux lecteurs, c’est génial!  Cette liberté d’expression est précieuse alors il faut savoir la cultiver. Chaque style y trouve sa place, chaque collaborateur peut y faire germer ses propos! Je crois que j’avais hâte au printemps en choisissant les termes cultiver et germer pour vous exprimer mon amour envers L’Indice Bohémien! Eh bien, n’y allons pas de main morte…À toi qui a le pouce vert et à qui la culture tient à coeur, sache que L’Indice Bohémien est un jardin dans lequel il est toujours plaisant de s’aventurer pour y découvrir les couleurs de notre belle région qu’est l’Abitibi-Témiscamingue !