Perdues dans les grands champs auréolés

D’or de blé se chantent les merveilles soudaines

Par les coups d’instruments du vent doux sur la plaine,

Alors tu t’y trouves au bonheur bercé et envolé.

Tu montes les marches d’or de richesses

Qui se renversent sous tes pas, comme poussière,

Ébloui par ta beauté faisant rougir les sphères,

L’or coule à tes pieds; renversant les plus grandes princesses.

Antoine Desrosiers


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